je dédie ce poème à tout ceux que je méprise avec ardeur...
L'ambiance lourde et gluante serpente sur les routes,
Le ciel est sombre et noir, menaçant, à l'écoute.
Partout, les vents violent agitent les grands chênes
La Nature s'accorde pleinement à ma haine.
Je veux hurler la mort, m’enfuir dans le lointain,
Déserter à jamais, vous quitter pauvres humains.
Je vomis sur vos Dieux, je crache sur vos ancêtres,
Puisse bientôt votre race s’éteindre et disparaître...
Par quels tristes moyens êtes-vous parvenus,
En dépit de vos tares, fielleux résidus,
A atteindre ce degré de puissance despotique ?
A muer en titanesques tyrans cosmiques ?
Gangrènes de la Terre, semeurs perpétuels,
De discorde et de haine. Insatiables, cruels,
Infâmes charognes putréfiant l'idyllique,
Aberrations plénières, cloportes chlorotiques.
Vos pensées me dégoûtent, vos actes m'horrifient,
Pour tout le mal que vous vous faites, soyez maudits !
Tous, dégueulasses immondices, infâmes orifices,
Hommes, défigurés à jamais par vos vices.
J'appelle la fureur de tous les éléments,
Balayez ces erreurs dans un souffle brûlant !
Qu'il ne reste rien de cette absurdité,
Qu'est l'Homme et son cortège d'ignobles vanités.
A moins que, du sommet de votre décadence,
Vous vous acheviez suprême déliquescence,
Dans une fête ultime, éruption nébuleuse,
Zénith d'extinction... Une fin monstrueuse...
On pourrait faire un commentaire composé sur ce poème. Une disserte même !
RépondreSupprimerEt la 5e strophe, tu t'es lâché ! O_o (j'me suis sentie presque mal 8D)
Tien, tu as changé ta signature ! Elle fait plus...Flamboyante ! 8D
magnifique!
RépondreSupprimerSuper ton poème digne des plus grand !!!
RépondreSupprimervivement ton prochain post je suis fan de ce blog
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